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Bernard barbarroux
Un gentil garçon disait sa mère, la tête dans les nuages disaient ses professeurs, faut qu’il ait un bon boulot disait son père, lui ambitionnait le monde, les grands espaces de l’Ouest Américain de Fenimore Cooper, les ténèbres des fleuves africains de Conrad, la mer rouge de Monfreid, l’Algérie de Camus et de Claude Roy. En classe, il rêvait de Chandernagor et de Pondichéry, de cingler sur la Malaisie vers les Iles-Sous-le-Vent.
Mais la vie est une maîtresse exigeante qui condamne souvent les voyageurs trop audacieux à s’échouer sur des rivages immobiles. Écrire est parfois plus facile, Bernard Barbarroux nous livre là quelques nouvelles anodines tirées parfois de son imaginaire et parfois de son itinéraire, juste un aimable moment passé en sa compagnie.
«La vie c’est ça une petite lumière qui finit dans la nuit» L.F. Céline
Mais la vie est une maîtresse exigeante qui condamne souvent les voyageurs trop audacieux à s’échouer sur des rivages immobiles. Écrire est parfois plus facile, Bernard Barbarroux nous livre là quelques nouvelles anodines tirées parfois de son imaginaire et parfois de son itinéraire, juste un aimable moment passé en sa compagnie.
«La vie c’est ça une petite lumière qui finit dans la nuit» L.F. Céline
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