D’année en année, l’auto édition gagne des points. De marginale, elle est devenue une part essentielle du secteur de l’imprimerie. Il est donc désormais très facile de trouver un imprimeur pour imprimer un livre que l’on veut auto éditer. Malheureusement, d’un point de vue budgétaire, choisir la meilleure option pour ce faire n’est pas aussi facile. A considérer les offres, c’est même plutôt le maquis ! Malgré le souci de clarté et d’honnêteté de leurs auteurs, les guides dans ce domaine sont finalement plutôt rares et peu explicites. Alors qu’en est-il exactement ? Et plus précisément, imprimer un livre, ça coûte combien ?

Mais avant de répondre à cette question, il faut savoir de quoi on parle. Ou plus exactement, il faut savoir dans quel cadre on se situe. Ce n’est pas la même chose d’imprimer un livre dans le cadre d’un contrat à compte d’auteur, d’un contrat d’édition à compte participatif ou d’un contrat d’auto édition à impression à la demande. Chacune de ces  formules est adaptée à un besoin spécifique. De ce fait, il est faux de prétendre qu’en dehors du contrat à compte d’éditeur d’une maison d’édition ayant pignon sur rue toutes les autres formules sont des arnaques comme on l’entend souvent dire. D’autant que certains contrats à compte d’éditeur que les plus critiques portent au pinacle peuvent apparaître à bien des égards  bien peu favorables aux auteurs.

Cela dit, on  ne s’intéressera ici qu’aux formules d’édition les plus économiques pour les auteurs ayant décidé de passer le cap de la publication. Ce qui signifie qu’on ne s’intéressera qu’aux paramètres qui influent sur les coûts d’une impression à la demande via une plateforme d’autoédition ou via une imprimerie assurant des prestations d’impression diversifiées. 

Imprimer un livre à la demande, ça coûte combien ?

Imprimer un livre à la demande, ça coûte combien - coollibri.com
Imprimer un livre à la demande, ça coûte combien – coollibri.com

7,43 euros ttc par exemplaire jusqu’à 12

De nombreux prix circulent sur internet et peuvent varier du simple au double. Pour ce qui est de CoolLibri, le calcul est simple. Imprimer un livre coûte très exactement 7,43 euros ttc. C’est sans doute un des prix les plus bas du marché.

Encore faut-il s’entendre sur ce qu’on a pour ce prix. En cherchant bien, on peut surement trouver un coût encore plus bas. Ce qui importe c’est donc de savoir ce que recouvre exactement ce prix de 7,43 euros ttc pour pouvoir l’apprécier au plus juste. 

Précisons que c’est le prix pour l’impression de un à douze exemplaires. Naturellement, le tarif est dégressif si ce nombre augmente. De surcroît, quasiment sans frais accessoires.

Ils peuvent être récupérés en « click and collect » et, le cas échéant, CoolLibri se charge gratuitement des formalités ISBN. Par ailleurs, ils bénéficient gratuitement de la banque d’images de CoolLibri pour l’agencement de la couverture.

Quels sont les paramètres retenus pour obtenir un tel prix ?

Six paramètres fondamentaux expliquent le prix d’un livre à imprimer : le type de reliure, le format, le papier, le pelliculage, l’encre, le nombre de pages et la quantité. 

Le type de reliure

D’une manière générale, il y a quatre types de reliure : le dos carré collé, le dos carré rembordé, la reliure agrafée, et la reliure spiralée. Rappelons que le dos d’un livre se situe à l’opposé de sa tranche et que les différentes parties d’un livre constituent son anatomie. A noter que les puristes ne parlent pas de dos, mais d’épine. Mais, bon, c’est la même chose.

On peut en trouver plus, jusqu’à 10, par exemple. Chacune répond à un besoin spécifique. Si le manuscrit d’un roman peut être relié avec une reliure spiralée, là encore, il y en a de plusieurs types, pour un roman, la reliure habituelle est un dos carré collé

C’est la reliure retenue dans la proposition de prix de CoolLibri. Ce type de reliure est un vrai best seller. Elle convient aussi bien pour de courts romans de 40 pages que pour des romans de 700 pages. Par ailleurs, elle est très solide.

Le format à retenir pour imprimer un livre

Comme il y a plusieurs types de reliure, il y a aussi plusieurs types de format. Si on en reste au prix affiché de 7,43 euros ttc, celui-ci correspond au format standard le plus couramment utilisé pour un roman. C’est notamment le format du roman de Laurent Mauvignier, publié par les éditions de minuit , lauréat du prix Goncourt 2025. 

Autrement dit, le format  » portrait » A5 ou 14,8 cm x 21,5 cm. La dimension la plus longue étant celle de la hauteur et la plus courte, celle de la largeur. On caractérise ce format avec le qualificatif portrait pour le distinguer d’une orientation dite à « l’italienne » ou « paysage« . Dans ce cas, la dimension la plus courte est celle de la hauteur et la plus longue celle de la largeur. 

On peut choisir l’un ou l’autre pour le même prix de 7,43 euros ttc. Bien évidemment, imprimer un livre dans ces conditions se traduira par une mise en page du texte imprimé qui diffèrera sensiblement selon l’orientation choisie. Même remarques pour le format dit « poche » en 10 x 18 cm.

C’est le format de la fameuse collection 10 x 18. Elle a été crée en 1963 pour suivre le même modèle que celui du Livre de Poche. Ce dernier a été créé dix ans plus tôt par la maison Hachette. Devant le succès de la formule,  d’autres éditeurs ont adopté le même format pour imprimer un livre dans leurs éditions à bas coût.  J’ai lu en 1958 et Folio en 1972. Aujourd’hui, pratiquement toutes les grandes maisons d’édition ont leur collection en format 10 x 18.

Choisir un papier pour imprimer un livre

Il y a papier et papier. Tous les papiers ne se valent pas. On les distingue principalement par leur grammage et leur usage. Mais aussi par leur teinte et par leur toucher. Plus le grammage est élevé, plus leur teinte et leur toucher sont particuliers et plus ils sont coûteux. 

Pour les pages intérieures, le papier retenu pour un prix de 7,43 euros ttc est un 90 g blanc. C’est le même que le papier A 4 qu’on utilise pour les imprimantes de bureau. C’est un papier bouffant, non couché, lissé mécaniquement.

Il est largement utilisé pour les romans. A noter que le papier bouffant « grossit » naturellement les volumes avec un nombre de pages réduit alors que le papier offset a tendance à « amaigrir » les mêmes volumes lorsqu’ils sont imprimés en grande quantité.

Cependant avec  un supplément de 0,05 à 0,30 euros ttc, on a le choix entre un doux 80 gr blanc (+ 0,30 euros), un crème ancien 80 gr (+ 0,30 euros) ou un lisse satin 115 gr (+0,05 euros). Ce sont des papiers couchés bien adaptés aux livres avec illustrations.

A noter que pour la reliure, le papier est uniformément un papier 300 gr couché. Un papier couché est un papier renforcé sur une ou deux faces par une couche de pigments minéraux. En éliminant la rugosité naturelle du papier, en diminuant sa porosité et en améliorant sa blancheur, le couchage permet d’obtenir une meilleure qualité de l’impression.

Quel pelliculage pour imprimer un livre

C’est une phase importante dans la finition de l’impression. Elle consiste à thermocoller un film transparent sur le couverture du livre. Pour 7,43 euros ttc, on peut choisir soit un pelliculage brillant, soit un pelliculage mat.

Le premier donne un aspect plus lumineux au livre, le second, un aspect plus élégant. Le choix entre l’un et l’autre est fonction du rendu que l’on veut obtenir et de son harmonisation avec le thème graphique de la couverture et la nature du texte dans les pages intérieures.

Quoiqu’il en soit, le pelliculage est indispensable pour rendre le livre plus rigide et renforcer sa conservation. Quand la couverture est souple, on parle de livre broché, ce qui est le cas de la très grande majorité des romans, quand cette couverture est rigide, on parle de livre relié

L’encre utilisée pour imprimer un livre

L'encre utilisée pour imprimer un livre - coollibri.com
L’encre utilisée pour imprimer un livre – coollibri.com

L’encre d’impression est un produit beaucoup plus technologique qu’il n’y parait. Elle est un composée de pigments, de solvants, de résine, d’additifs et d’eau ou d’huile. C’est ce qui permet de la colorer autant que nécessaire, de la fluidifier, de la fixer et de faciliter sa répartition et son séchage. 

D’une manière générale, pour imprimer un livre, on utilise plutôt des encres à base d’huile, dites aussi encres offset. Cela dit, il existe une multitude d’encres, chacune avec des caractéristiques particulières et des dosages variables de ses ingrédients. 

Pour ce qui est de l’offre à 7,43 euros ttc, à noter que la couverture est toujours imprimée en couleur et les pages intérieures en Noir et Blanc.

Le nombre de pages

Le nombre de pages a naturellement une incidence sur le prix du livre imprimé. Par ailleurs, dans la formule proposée, il n’est possible d’imprimer qu’un livre de  74 à 648 pages. Pour ce qui est du prix de 7,43 euros ttc, il s’applique à un livre de 152 pages. C’est ce qui correspond à un petit roman de 50 000 mots.

C’est la taille de la plupart des romans d’un auteur comme Amélie Nothomb. Ce qui lui permet d’en publier pratiquement un par an. En dessous de 152 pages, le roman devient nouvelle et l’exemplaire d’une nouvelle de 74 pages, par exemple, coûte alors 5,63 euros ttc.

A l’autre extrémité du spectre, l’exemplaire d’un roman de 648 pages, le maximum autorisé, coûte 18,83 euros ttc.

La quantité

Comme le nombre de pages, la quantité d’exemplaires imprimés joue sur le coût de chacun d’entre eux. Si un exemplaire imprimé coûte 7,43 euros ttc, dans la configuration de base,  il ne coûte plus que 2,58 euros ttc par exemplaire, si 500 exemplaires sont imprimés, du fait de l’économie d’échelle.

A noter qu’une réduction écologique est appliquée pour toute commande de 4 à 24 exemplaires en veillant à chaque fois à respecter un multiple de 4. Le but d’une telle consigne est de limiter la perte de papier au moment de l’impression. 

L’impression de 4 exemplaires coûte certes 26,73 euros ttc, mais à ce prix, chaque exemplaire coûte en fait 6,68 euros ttc.

Une impression à 7,43 euros ttc est-elle une impression de qualité ?

PHOTO TABLEAU JEAN MICHEL BASQUIAT- coollibri.com
PHOTO TABLEAU JEAN MICHEL BASQUIAT- coollibri.com

C’est un prix qui convient parfaitement à l’impression d’un roman

Un roman n’est pas un album photos, ni un livre d’art. Ce que veut celui qui en fait l’acquisition, c’est qu’il puisse se laisser prendre à l’histoire qu’il raconte. Le but est atteint quand l’auteur parvient à lui faire oublier son quotidien et à le plonger dans un autre univers. C’est ce qu’on appelle les « page-turner« . Dans ces conditions, ce qui prime, c’est le confort de la lecture et la maniabilité du livre.

Dos carré collé et reliure pelliculée conviennent parfaitement pour assurer la solidité du livre et pour donner la possibilité à son possesseur d’être à même de le lire dans beaucoup d’endroits. Un roman doit ainsi pouvoir se lire sur la plage, sur un guéridon de bistrot, dans un compartiment de métro ou de train, etc… Autant de lieux qui peuvent lui mener la vie dure.

Et ce n’est pas tout. Qui dit lecture, dit vision et confort de lecture. Autrement dit, le choix de la typographie, de l’encre et du papier joue indéniablement un rôle déterminant de ce point de vue. Une typographie dans une police de caractère minuscule réduit certes le nombre de pages à imprimer, mais finit aussi par décourager tout lecteur.

Même chose avec une encre que l’on veut créative et qui est surtout fatigante au bout de quelques heures de lecture. Cela d’autant plus, si à la qualité spéciale de l’encre, on ajoute le recours à un papier dont la teinte obscurcit les lettres et les mots du roman. 

De fait, pour 7,43 euros ttc, l’exemplaire imprimé du roman, tel qu’il a été présenté ci-dessus, évite tous les risques qui viennent d’être évoqués et pour cette raison son impression est une impression de qualité.

Un prix qui implique le respect des gabarits proposés

Pour imprimer un roman, il faut au préalable transmettre un manuscrit à l’imprimeur. Ce qui veut dire qu’on ait eu le souci de respecter les fonds perdus et les débords. Autrement dit, les zones qui ne seront pas imprimées. 

Pour ce faire,  le mieux c’est de télécharger gratuitement le gabarit proposé par l’imprimeur pour chacun des formats qu’il propose. Cela permet de faire gagner du temps à tout le monde et d’être certain de la qualité de la mise en page du roman.

Un prix qui inclut gratuitement le recours à une bibliothèque de couvertures

Tout lecteur le sait, et a fortiori tout auteur, la couverture, ça compte dans le choix d’un livre. Il y a des livres qui attirent, d’autres qui repoussent, rien que par leur couverture. La couverture, c’est l’emballage du livre et celle-ci remplit la même fonction que pour tout produit distribué en magasin. Il en est aussi de même pour les sites internet. Bref, une couverture ne se fait pas à la va vite. 

Seulement voilà, comment faire quand on n’a aucune expérience dans le domaine des arts graphiques. Et même si on maîtrise relativement bien les logiciels de traitement de texte, il y a tout un monde entre la simple écriture d’un texte et la réalisation d’une illustration. On ne s’improvise pas graphiste du jour au lendemain. 

Par conséquent, pouvoir bénéficier gratuitement de modèles de couverture qui ont fait leur preuve et avoir la possibilité de les personnaliser facilement constitue indéniablement un facteur de qualité qu’on ne trouve pas partout. Or, c’est le service qui est inclus dans l’impression d’un roman pour 7,43 euros ttc.

Un prix qui permet de bénéficier gratuitement de services promotionnels 

Si on a l’intention de distribuer son livre simplement autour de soi, sa promotion est vite faite. Cependant, si on écrit un roman, en général, c’est pour le vendre et même, tant qu’à faire, pour gagner de l’argent en écrivant un livre. Mais, pour ça, il faut pouvoir disposer de quelques outils. Le premier c’est l’ISBN.  Sans ISBN pas de vente possible. 

L’ISBN, c’est le numéros d’identification du livre. Sa plaque d’immatriculation, en quelque  sorte, qui n’appartient qu’à lui. L’ISBN est attribué par l’agence francophone pour la numérotation internationale du Livre (AFNIL). Il convient de la saisir pour l’obtenir. La demande d’ISBN est inclue dans le prix de 7,43 euros ttc.

Par contre, pour ce qui est du dépôt légal à la Bibliothèque Nationale de France qui est obligatoire, c’est à l’éditeur de s’en charger, même s’il n’a pas l’intention de vendre quoi que ce soit. A noter par ailleurs que l’imprimeur se charge lui-même de l’envoi de l’exemplaire imprimeur. 

Enfin, et ce n’est pas rien, une fois imprimé le roman est référencé dans la bibliothèque numérique de l’imprimeur. Il suffit de cliquer sur l’onglet bibliothèque puis sur le bouton demandant l’ajout du roman dans la bibliothèque. Elle comprend plus de 10 000 titres classés en 8 grandes catégories. Sa première page met en avant les nouveautés du moment.

Quels sont les frais accessoires à prendre en compte ?

On l’oublie parfois, mais au-delà du prix de l’impression, il y a un certain nombre de frais que l’on peut qualifier d’accessoires, et le plus important d’entre eux est assurément celui qui correspond aux frais de livraison.

Frais de livraison 

S’il s’agit des seuls frais de livraison, ils sont gratuits si l’auteur du livre opte pour le service click and collect. Dans ce cas, il lui suffit de se rendre dans les locaux toulousains de l’imprimeur pour récupérer son ou ses exemplaires. Il peut bien évidemment opter pour un envoi à son domicile. Dans ce cas, le service est payant. Différents tarifs lui sont proposés suivant qu’il opte pour une livraison standard ou pour une livraison express.

Bibliothèque commerciale

Une fois imprimé, le roman peut être simplement référencé, gratuitement, dans la bibliothèque et bénéficier tout aussi gratuitement de son moteur de recherche. En cas d’achat par un éventuel lecteur, l’auteur éditeur en est informé et peut dès lors organiser par lui – même la livraison de l’ouvrage concerné. 

Mais, pour 7,43 euros ttc, une autre option est possible, celle d’une vente directe à partir de la bibliothèque qui devient alors bibliothèque commerciale. Il suffit pour cela de cocher l’option correspondante. 

 

Dans ce cas, l’imprimeur s’occupe de tout en contre partie d’un forfait minime, de l’ordre de 1 euro ttc, déduit du prix de vente pour les frais administratifs, en sus des frais de fabrication, occasionnés par chacune des ventes. La marge qui lui revient alors équivaut à ses droits d’auteurs dont le montant est largement supérieur à celui de n’importe quelle maison d’édition.

C’est simple, très pratique et n’empêche pas de publier son livre dans d’autres bibliothèques disponibles.

Un budget accessible pour tout auteur de roman auto édité

Un budget accessible pour tout auteur de roman auto édité - coollibri.com
Un budget accessible pour tout auteur de roman auto édité – coollibri.com

En résumé, parler de budget avant de se lancer dans l’impression d’un roman est une démarche normale. Cependant, après étude, il faut se rendre à l’évidence. Imprimer et publier un roman en tant qu’auto éditeur n’est pas une opération aussi coûteuse qu’on pourrait le croire. Ni aussi difficile que ça à mettre en œuvre. 

Le budget qui peut lui être consacré convient ainsi  à toutes les bourses. 

Si on fait le compte, l’impression et la publication d’un roman, de 152 pages noir et blanc, dans un format A5, avec une couverture couleur pelliculée, référencée dans une bibliothèque commerciale revient en tout et pour tout à 7,43 euros ttc pour un exemplaire. 

Sachant que ce tarif diminue, du fait des économies d’échelle et d’une meilleure utilisation du papier dès que la commande dépasse 4 exemplaires. Cela dans le cadre d’une impression numérique et naturellement encore plus dans le cadre d’un gros tirage nécessitant une impression offset.

Un budget de 7,43 euros ttc

Dans ce cas, le budget est 7,43 euros ttc auquel il faut ajouter, comme il se doit pour toute commande à distance, des frais de livraison. A supposer qu’on ne puisse se rendre sur place pour en prendre livraison soi-même.

A partir de cette base, on peut bien évidemment parvenir à un budget plus élevé si on veut plus de prestations. Là aussi rien que du plus courant. Ainsi on peut ajouter du vernis sélectif sur une page de couverture rigide, choisir un papier couché, un papier offset, un papier recyclé ou un papier grand format pour les pages intérieures avec des illustrations couleur respectant la norme CMJN, et bien sûr, augmenter le nombre de pages, etc..

Entre le budget de base et le budget plus conséquent tout dépend de ce que l’auteur veut faire de son livre. S’il s’agit d’un roman, fiction ou autofiction,  destiné à être vendu, le budget de base suffit largement. S’il s’agit d’un livre que l’on destine à quelques familiers, il peut être plus élevé, mais son coût global est réduit par un tirage limité à quelques exemplaires seulement.

Sachant cela, rien n’empêche plus de se lancer dans l’écriture, car comme le dit un proverbe oriental :

La mémoire se perd ; mais l’écriture demeure.

Notons enfin que pour faciliter ce lancement, la plateforme d’auto édition de CoolLibri donne, gratuitement, une multitude de conseils aux apprentis auteurs dans son blog consacré aux techniques ou aux logiciels d’écriture, aux appels à texte, aux thématiques inspirantes ou au modèles littéraires, aux droits d’auteur, etc. , riche de plus de 300 articles et de près de 3000 commentaires.

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